Lucie Chenu est une lumière. Personne n'a jamais mieux porté ce prénom.
Elle éclaire, elle réchauffe.
Elle est modeste, et met en lumière ce qu'elle aime, ceux qu'elle aime.
Elle éclate et jaillit en étincelles quand sa révolte déborde.
Elle est brûlante, de désirs, de projets, de colères parfois, de passions toujours.
Elle donne. Elle avance les yeux ouverts, les bras ouverts, le coeur ouvert.
Elle réchauffe, à mots simples, à mots doux, quand on en a besoin.
Elle apprivoise et réconforte, car les auteurs sont d'étranges et fragiles bêtes.
Parfois elle se glisse même dans leurs textes — dans deux des miens je l'ai retrouvée, changée en personnage sans pourtant être changée, éleveuse ou éditrice.
Il est si facile de faire son éloge que j'en ai presque honte.
J'espère que nos chemins continueront de se croiser, de se trouver.
Je rêve pour elle d'une énergie inépuisable, si quelque auteur de SF en trouve le secret.
J'espère, un jour, lui rendre un peu de sa lumière.
…
Et croyez-moi, elle mérite cet éloge.
La preuve en est dans les quantités d'autres éloges, de plumes autrement plus célèbres que la mienne, et même, excusez du peu, des pinceaux de Caza !
Vous pouvez les lire ici, dans le dernier numéro d'Univers & Chimères (menu "Entretiens")
Vous pouvez les lire aussi dans le recueil de ses textes qui vient de paraître aux éditions Rivière Blanche :
Les Enfants de Svetambre
avec une autre magnifique illustration de Caza en couverture.
J'ai le plaisir et l'honneur, avec mon "jumeau de l'Eden", Julien Fouret, de voir l'un de mes propres textes publiés dans le recueil de Lucie, le troisième volet du tryptique de la Genèse, "Haine, rupture et commencement" qu'elle a entamé de façon si stimulante avec le point de vue de Lilith que nous avons eu envie de le poursuivre, Julien donnant la version d'Adam et moi celle de Lucifer : une histoire de commencement, donc.
1 commentaire:
Oh ! Je n'avais pas vu *^_^*
(pas pratique sans ordi, j'ai perdu mon carnet d'adresses et mes favoris !)
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