Couverture de Vincent Devault |
Ca y est !
Le numéro 1 de la revue Mythologica
est sorti, avec au sommaire ma nouvelle « Hell’s Hope ».
C’est une nouvelle située dans l’univers du jeu de rôle Hellywood, et son atmosphère si particulière
de polar/film noir mâtiné de fantastique.
C’est une histoire noire, donc. Une histoire de femme
fatale. Une histoire de Syndrome de Stockholm. Une histoire de démons, ceux de
l’intérieur et de l’extérieur.
J’espère qu’elle vous plaira.
Vous pouvez commander la revue à votre librairie préférée ou
vous abonner (en version papier ou numérique) ici.
La revue papier coûte 18 euros. C’est
cher, songez-vous, et je comprends cela.
Vous aurez une autre occasion de
lire « Hell’s Hope » en janvier, nous en reparlerons.
Mais voici tout de même quatre
bonnes raisons d’acheter la revue :
- pour soutenir Mythologica ! Regardez plutôt leur alléchant programme de publication. Vous n’avez pas envie de lire un numéro sur Lovecraft ? Le steampunk ? George R. R. Martin ?
- pour les illustrations : la belle couverture de Vincent Devault que vous pouvez admirer ci-dessus et les superbes illustrations intérieures de Mathieu Coudray (celle qui accompagne ma nouvelle est sublime, je crois que c’est la première fois qu’une illustration d’un de mes textes me plaît et me touche autant).
- pour les autres textes :
- rien de moins qu’une nouvelle de Lionel Davoust, « La Fin de l’Histoire », située dans l’univers d’Evanégyre et dans laquelle vous retrouverez sa gravité qui ne se prend pas au sérieux, son souffle dramatique, son absence de manichéisme et l’importance qu’il donne aux histoires, toutes les histoires.
- et le prologue d’un feuilleton de Nathalie Dau, justement célèbre pour la poésie de son style mais qui réussit aussi à écrire de la fantasy faussement traditionnelle et à imaginer des créatures vraiment différentes, vraiment non-humaines dans leur façon d’agir et de penser. C’est rare.